Spéciale "Trucage"

Ca faisait un moment, entre autres idées super géniales qui déchirent que j'avais envie de faire un ch'ti message qui parle des trucages, parfois super bien faits, qu'on peut trouver en surfant sur le net...

Alors, mesdames, mesdemoiselles, messieurs, en voici quelques-uns que je trouve "top moumoute", ouvrez bien vos mirettes et admirez :

Tout d'abord, qu'est-ce qu'un trucage ?

En haut, une photo non truquée (=chose que l'on voit tous les jours ou presque, qui est normal, exemple : ma femme qui m'apporte à boire car il y a un match à la télé)

A droite : un vrai trucage : effectivement, on ne voit pas tous les jours un mec avec une chemise aussi horrible. On s'aperçoit rapidement que les carreaux ont été rajoutés...

Autre exemple de trucage : Regardez attentivement, l'homme a droite, sur la photo originale, ne portait pas de lunettes. Si, si ! Grace à un savant trucage, il a été possible de réaliser cette photo invraisemblable : Une belle paire de nippons, y'a du monde au balcon !

Ici, c'est mémé qui va faire ses courses à ed.

Pour les besoins de ce blog, on l'a un peu dévêtue. Mais rassurez-vous, sur la photo originale, mémé, était habillée. Elle sort rarement en maillot de bain... Heureusement pour nous d'ailleurs !

Là nous avons tonton Georges qui, en vrai, avait attrappé une grémille. On a aussi retouché un peu la photo pour lui faire plaisir et on lui a mis un saumon. L'était content le tonton... La prochaine fois on lui mettra un thon, comme ça, ça lui en fera deux avec tata georgette...

Et maintenant deux exemples de "négresses à plateau" comme disaient les anciens des colonies : la première, version cendrier :

La deuxième, version Borton antivirus :

Nouveau trucage, dans la rubrique "Nos amis les bêtes" : Georges et Saddam, au temps où ils étaient copains comme cochons.












Voici ma belle-mère qui garde ma fille : (photo à peine retouchée)

Le bel Harrisson Fjord qui ferait n'importe quoi pour avoir la surprise qu'il y a à l'intérieur...

Dans le désert, on a pas d'eau, mais on a des mac do (on est sauvés !)

Putain la vache elle a pas mis son cuir, elle va se cailler, ça craint, il va nous le faire tourner le lait !

Le trucage de cette photo (car je suis sûr que vous n'avez pas deviné) : on a rajouté un casque à la vache, parce que dans le commerce y'en avait pas à sa taille...

Bon allez Némo, je vais pas te laisser dans la merde, je te rends ta liberté...

Ce blog sur les trucages vous a plu ? A moi aussi... Alors, n'hésitez pas à "faire tourner" en refilant l'adresse à vos connaissances...

Et si vous souhaiter un insérer un de votre composition, no problémo, envoyez-le moi à pbarthelemy@cg54.fr et je me ferai une joie de le mettre en ligne.

Sex Toy Story

La Jocond(om) fût la première à avoir l'usage de ces petits objets sexuels que nous désignons maintenant unanimement à l'aide de cet anglicisme bien pratique, comme pour en rejeter la faute sur le dos de nos voisins britanniques (ta mère) ; j'ai nommé les sex toys...

STORY

Et voici la véritable et triste histoire de Sex Toys Story :

Il était une fois, dans une petite ville de l'Est de la France, disons Nancy, des sex toys qui s'ennuyaient dans leur sex shop :

"Oh là là, qu'est-ce qu'on s'ennuie ici, on branle rien de la journée et ça commence à être franchement casse-couilles !"

Il y avait là, le digne échantillon de tous les représentants de ce que pouvaient proposer ces boutiques particulières à leurs connaisseurs de clients :
Les habituels godes (save the guines) :

Les fameuses boules de geisha : Les capotes pour tous les goûts :Et autres divers accessoires au goût plus au moins douteux : Mais tous cette "bande" d'amusants articles, ces sex toys, s'ennuyaient ferme dans cette petite boutique, car le client était rare, finalement.

Alors, un jour, notre ami le petit canard, que tout le monde connaissait et que tout le monde écoutait, parce qu'il était le plus grand orateur de tout" l'étang" prit la parole :

"Il est temps de se révolter, et de fuir pour gagner notre liberté; c'est vrai quoi, y'en a "mare" (à canard)".

Il n'y eu pas de brise de bec ce jour-là, et tout le monde écouta attentivement le canard qui était loin d'être un connard...Mais en fait, notre ami, sous ses airs affables, était en fait un vrai petit démon :

(D'ailleurs, sa réputation n'est plus à faire auprès des demoiselles qui ont recours à ses services, hum, hum, n'est-ce pas mesdemoiselles ??) Enfin, bref, le canard n'avait qu'une idée en tête, s'envoler vers d'autre cieux, pour retrouver sa petite amis, avec laquelle il entretenait des relations assez particulières...

Pour l'aider dans sa mission, il imposa à ses amis sex toys, de l'accompagner dans son terrible périple... "Et celui qui n'est pas d'accord, je lui cloue le bec"

C'est ainsi que cette joyeuse bande d'objets se mit en route, prête à affronter les pires dangers de la rue... Ce qu'ils ne savaient pas, ce qu'une bande de chien pervers trainaient dans les parages...

Et que pour eux qui avaient l'habitude de s'attaquer à du gros gibier, faire une bouchée de ces sex-toys n'était qu'une simple "forme alitée":

"Hey, les chiens, j'espère au moins que vous avez pris vos précautions ?? " S'écria le canard, voulant faire le malin...

A ces mots, les chiens lui volèrent dans les plumes et n'en firent qu'une bouchée... C'est ainsi, malheureusement, pas plus loin qu'au bout de la rue, que se termina le périple de nos sex-toys. Et tant mieux, parce que finalement, on ne voudrait pas que de tels objets, s'éparpillent au vu et au su de tout le monde, et finalement, car comme le dit si bien une très vieille chanson populaire : "J'aimerais mieux les avoir au (c..) que de les voir traîner dans la rue..."

Ce blog vous a plu ? Alors n'hésitez pas à "faire tourner" en refilant l'adresse à vos connaissances : www.unejourneebanalepourpaul.blogspot.com

La poissonnière n'était panée d'hier

site sponsorisé par l'immense Captainiglooooooo iglou iglou iglou.... Ce message est directement issu du deuxième livre de Paul, intitulé : "D'un commun accord avec moi-même"

(texte phonétique sans prétention)

Tous les matins, elle arrive au « bulot » vers 5 h 30,

pour prendre son tour. On peut dire qu’elle prend son « tourteau » ! On la voit qui se faufile comme une anguille

pour préparer son rayon. Et son rayon, c’est le poisson. En plus, elle est jolie comme tout avec sa raie
au milieu et ses bottes de sept «lieu». Non, ce n’est pas un « thon » ni une « morue » d’ailleurs.

Pas plus épaisse qu’une crevette, elle manipule les casiers de fruits de mer

comme un véritable loup de mer sans jamais rien faire tomber sur le « sole » « carrelet.» Elle ne se plaint jamais d’avoir de coup de « bar.» Au contraire elle a toujours la pêche
et jamais vous ne la verrez marcher en crabe. C’est bien simple on dirait qu’elle a huit bras, un peu comme une pieuvre, ce qui ne l’empêche pas d’être souvent en nage. Il y a parfois tant de boulot qu’elle a du mal de sortir la tête de l’eau. Cependant, elle n’a pas son pareil pour distinguer les langoustes...

...des homards (m'a tuer)...

...« étrille » aussi les poissons, surtout quand un saumon « colin » brochet.

Et croyez-moi, personne ne crie « arête » quand elle les étête ou les écaille ! Le tout sous les yeux émerveillés des clients, qu’il s’agisse de requins de la finance... ...ou de pauvres gens venus à dos de mulet ! Qu'ils soient excentriques ou n’« ormeau »...

... ils viennent volontiers acheter quelques berniques...

...ou bigorneaux

...et n’hésitent pas à lui tendre la perche...

...quand ils veulent faire quelques jeux de mot, car notre poissonnière n’est « panée » d’hier et pas du genre à se fermer comme une huître, ni à rentrer dans sa « coquille saint Jacques.»

Tous ses clients en « pince » pour elle

, ils font la queue (de poisson) pour voir la jolie sirène

et j’en soupçonne certains de vouloir la prendre dans leurs filets.
D’ailleurs l’un d’entre eux, n’hésite pas à la draguer ouvertement, quand il arrive, il lui dit : "chalut ! " Mais la poissonnière n’a pas l’intention de mordre à l’hameçon, elle pense que c’est un maquereau ! Un jour, il est venu avec une assiette, sur laquelle était posé un « moule » ...

...qui cachait un gâteau aux sardines, prêt à être découpé, car l’attentionné client avait aussi pensé à prendre un couteau. Le client lui a dit :

— Avec cet instrument tu pourras aussi raser le mérou dans l’aquarium ! (car le poil de mérou s’tond, à ce qui paraît.)

La poissonnière s’est bien « marée » ce jour là…

Ce blog vous a plu ! N'hésitez pas à faire tourner en refilant l'adresse à vos connaissances :

www.unejourneebanalepourpaul.blogspot.com

Vous pouvez aussi (ça y'en a être un très bonne idée) l'ajouter à vos favoris !