Sex Toy Story

La Jocond(om) fût la première à avoir l'usage de ces petits objets sexuels que nous désignons maintenant unanimement à l'aide de cet anglicisme bien pratique, comme pour en rejeter la faute sur le dos de nos voisins britanniques (ta mère) ; j'ai nommé les sex toys...

STORY

Et voici la véritable et triste histoire de Sex Toys Story :

Il était une fois, dans une petite ville de l'Est de la France, disons Nancy, des sex toys qui s'ennuyaient dans leur sex shop :

"Oh là là, qu'est-ce qu'on s'ennuie ici, on branle rien de la journée et ça commence à être franchement casse-couilles !"

Il y avait là, le digne échantillon de tous les représentants de ce que pouvaient proposer ces boutiques particulières à leurs connaisseurs de clients :
Les habituels godes (save the guines) :

Les fameuses boules de geisha : Les capotes pour tous les goûts :Et autres divers accessoires au goût plus au moins douteux : Mais tous cette "bande" d'amusants articles, ces sex toys, s'ennuyaient ferme dans cette petite boutique, car le client était rare, finalement.

Alors, un jour, notre ami le petit canard, que tout le monde connaissait et que tout le monde écoutait, parce qu'il était le plus grand orateur de tout" l'étang" prit la parole :

"Il est temps de se révolter, et de fuir pour gagner notre liberté; c'est vrai quoi, y'en a "mare" (à canard)".

Il n'y eu pas de brise de bec ce jour-là, et tout le monde écouta attentivement le canard qui était loin d'être un connard...Mais en fait, notre ami, sous ses airs affables, était en fait un vrai petit démon :

(D'ailleurs, sa réputation n'est plus à faire auprès des demoiselles qui ont recours à ses services, hum, hum, n'est-ce pas mesdemoiselles ??) Enfin, bref, le canard n'avait qu'une idée en tête, s'envoler vers d'autre cieux, pour retrouver sa petite amis, avec laquelle il entretenait des relations assez particulières...

Pour l'aider dans sa mission, il imposa à ses amis sex toys, de l'accompagner dans son terrible périple... "Et celui qui n'est pas d'accord, je lui cloue le bec"

C'est ainsi que cette joyeuse bande d'objets se mit en route, prête à affronter les pires dangers de la rue... Ce qu'ils ne savaient pas, ce qu'une bande de chien pervers trainaient dans les parages...

Et que pour eux qui avaient l'habitude de s'attaquer à du gros gibier, faire une bouchée de ces sex-toys n'était qu'une simple "forme alitée":

"Hey, les chiens, j'espère au moins que vous avez pris vos précautions ?? " S'écria le canard, voulant faire le malin...

A ces mots, les chiens lui volèrent dans les plumes et n'en firent qu'une bouchée... C'est ainsi, malheureusement, pas plus loin qu'au bout de la rue, que se termina le périple de nos sex-toys. Et tant mieux, parce que finalement, on ne voudrait pas que de tels objets, s'éparpillent au vu et au su de tout le monde, et finalement, car comme le dit si bien une très vieille chanson populaire : "J'aimerais mieux les avoir au (c..) que de les voir traîner dans la rue..."

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