NON je ne suis pas une STAR !!!

NON JE NE SUIS PAS UNE STAR !

Alors les filles, s'il vous plaît, de grâce, cessez de me harceler ainsi !!!

Bon, laissez-moi me remettre de mes émotions...

Avant de commencer à vous parler de ce qu'est une journée banale pour moi, je voudrais apporter une précision qui me paraît importante :

Vous vous demandez certainement comment je suis devenu écrivain. Hein ? C'est très simple en fait, j'étais un excellent élève au Lycée et je me consacrais entièrement à mes études. "Mais comment faisais-tu ? ", me demanderez-vous !!!

C'est simple, en fait, je n'ai aucun mérite, car dans mes classes, il n'y avait toujours que des moches. Et, ça, franchement, quand on est un mec, ben c'est le remède miracle qui fait que... on devient bon élève. La preuve en image :

Oui, je sais, c'est Atroce. Et la mode particulièrement horrible de l'époque n'excuse pas tout.

Refermons rapidement cette parenthèse préhistorique et voici maintenant ...

Une journée banale pour Paul :

Vous verrez, qu'elle ressemble vraiment de près à la votre :

Aujourd'hui, en me levant, je me suis dit, tiens, je vais mettre un tee-shirt à la con, pour bien me faire remarquer, alors j'ai mis ça :

Ensuite, ce matin-là, je suis allé, comme tout le monde, faire mes courses à ed, vous savez l'espèce d'enseigne bizzaroïde, subtil compromis hybride entre la grande distribution et le hard discount. Sur le parking j'ai vu ça : un homme avec une chemise blanche et un gros cul dans un pantalon bleu !!! Quelle faute de goût !!! Et c'etait plutôt hard que discount...

(C'est pour ça que je vais toujours faire mes courses à ed !)

Enfin bref, après je suis allé boire une toute petite bière au café avec des potes :

Mais attention, l'abus de bière faire rôter. Après les culs, le rôt. A quand le pêt ?

Mais en reprenant mon petit véhicule, comment veux-tu, comment veux-tu que je circule ?

ah, non, c'est pas celle-là, c'est celle-là :

, je me suis fait arrêter par les gendarmettes... et j'ai vraiment eu très très peur de me retrouver au trou ! :

Parce que au trou, ça pue !

Bref, l'interrogatoire a durée au moins deux heures :

"- Ah, c'est vous M. BARTHELEMY, le super grand écrivain qui écrit des livres avec plein de mots qui se suivent à l'intérieur ? J'adore ce que vous faites !!!"

"Mettez-vous à l'aise, ma collègue va vous faire une petite p..., heu, une petite tisane... Vous pouvez me faire une dédicace sur ma fesse droite ?"

- "Heu, oui, en plus j'adore les cuisses de poulets !"

Bon bref, après cette matinée plutôt banale pour un samedi, je rentre enfin manger chez moi :

Heu, non pas la maison là, ça fait trop peur !!! Je disais donc, je rentre chez moi :

à Paulywood Dans ma ptite maison :

L'après-midi, j'avais rendez-vous avec une copine. Mais, la tuile, impossible de me rappeler si c'était Jessica :

Ou si c'était Eva : (avouez qu'elles se ressemblent un peu quand même !)

Alors, dans le doute, j'ai préfèré annuler... C'est vrai, quoi, faut un peu de piment dans sa vie. Sinon c'est trop sonotone, heu monotone...

Comme j'avais encore un petit creux, j'ai téléphoné vers 15 h 00 à un pote et je lui ai proposé d'aller "bouffer" au mac do. (parce qu'au mac do, on mange pas, on bouffe). Malheureusement; le mac do était fermé, le patron venait de se faire coffrer pour empoisonnement... (il serait temps !)

A 17 h 00, je devais aussi aller voir un match de foot féminin, mais va savoir pourquoi, ma femme n'a pas voulu que j'y aille...

Alors, résigné, je suis retourné chez moi, heureusement y'avait un bon match de foot à la télé : Le psg contre sexey-aux-forges, c'est sûr c'est pas le même niveau, mais bon, j'ai pensé :

"Ah c'est sûr rien ne remplace le confort d'un foyer, avec femme et enfants !"

Vous voyez, y'a vraiment pas de quoi être en extase devant la vie très banale d'un écrivain de renommée "mon dial."

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Autrement dit : refilez l'adresse à vos amis !

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